C'est dur de savoir le futur [PV Fragrance Automnale]

Le soleil commencé à se lever quand je me réveillé. Enfin le soleil ... il pleuvait plus qu'autre chose. C'est la pluie qui m'avais réveillé. Un fin ruisseau se glissé dans ma tanière et commencé à mouiller mon poil blanc. Je me mis debout et me secoua. J’entendis les fines gouttelettes qui était sur mon pelage, tomber sur le sol sec de ma tanière. Malgré le mauvais temps, je mis le museau dehors et parcourut mon camp. Presque tout les membres de ma meute dormait. Nous avions perdu bien des membres aux cours de ces quatre dernières Lunes ... et cela commencer à ce faire ressentir. Je savais que même partis, mon Lieutenant s’occuperait du camp en mon absence.
Comme à mon habitude, je laisser une trace de ma patte pour lui montrer que je sortais aujourd'hui. Je parcourut toute la foret, silencieuse comme une pierre et rapide comme un aigle. Je savais déjà ou j’allai : à la Plaine du Savoir. J'y allé régulièrement espérant comme à mon habitude de voir Regard Céleste ou un autre Gardien. Mais jusque là, je ne voyais personne. Ou plutôt je n'entendais personne. Malgré mes yeux flamboyants, plus aucune image de la foret ne se dessiné dans ma tête. Tout ce que je pouvais faire c'était : écouter et sentir (par mon odorat comme pas les vibrations de la terre). Je savais en plus qu'un orage se préparais et que je serais plus en sécurité dans la plaine que dans les bois.
Quand je sortit de la foret, je sentis les herbes bien fraîche et gorgé d'eau. Je sentais l'eau tomber sur mes poils immaculés ainsi que leur petite perle tombée sur l'herbe fraîche. On m'avais dit t'en de fois que l'eau qui tombais sur mon pelage me rendais plus merveilleuse, plus rayonnante, que je me replongeais dans ma vie de jeune louve. Retournant sur terre, je me mis à sentir l'odeur de cette plaine qui, dans mes souvenirs, avaient toujours étaient incroyable, irréelle. Un vent frais vint me caresser ... et m'apporter une odeur inconnue. Je tendis mieux l'oreille et entendus des pas se diriger vers moi ainsi qu'un souffle qui se voulais discret. Je me tournais d'un bond vers le canidé et me mis à gronder en signe d'avertissement. Si il approché, je n'hésiterais pas à lui sauter à la gorge.
Je me mis à sentir de plus en plus l'odeur étrangère ... Elle, car c'était une louve, venais de la Meute du Soleil. Ce n'était donc pas leurs Chef mais une guerrière. Elle ne sentais pas les herbes. J'attendis qu'elle parle ou qu'elle m'attaque. C'était bien dans ces moments là que j'aimerais voir par mes yeux et non par mes oreilles et ma truffes …