Une discussion peut arranger bien des choses -PV Temps de la Mélancolie-

C'était un jour calme aujourd'hui. Le Soleil n'était pas encore au plus haut de son parcours. Il y avait un petit vent assez froid malgré la saison chaude qui était enfin arrivée. Pourquoi la saison des feuilles nouvelles était-elle plus chaude que celle-ci ?? Une question qui reste encore sans réponse.
J'avais réveillé mon Sous-Chef pour le prévenir de mon absence. Je lui dis que je ne savais pas quand je reviendrais. Il me répondit que ça n'avait pas d'importance et que je mérité bien un peu de repos après ce qui c'était passé.
La veille, des canidés sauvages nous avaient attaqués pour nous prendre nos terres. Nous les avions chassés assez rapidement. Des guerriers avaient étaient blessé mais tous étaient fatigué. Quant à moi, je m'étais retrouvé avec de "jolies" griffures sur le flanc droit.
J'arrivé dans une toute petite clairière et y vis un rocher. J’allai m'allonger dessus car cela faisais un bon bout de temps que je marché. Cette pierre était chauffée par le Soleil malgré le grand arbre qui était planté juste à côtés.
Avant de m'en apercevoir, je m'y assoupis. Au début, je fis un rêve banale quand soudain, un Rêve d'un canidé mort me surpris. Il me prévenait qu'il y allait y avoir une étrange rencontre prochainement. Avant de savoir la fin, je me réveillais brusquement. Sans doute par la surprise de se Rêve.
Mon ventre gargouilla et je sus qu'il était temps de chasser. Pendant mon sommeil, une brume fine s'était installée. Le vent humide souffla sur mon museau couleur de la neige d'hiver. Ce vent m'apporta l'odeur d'un jeune chevreuil. Mes sens se mirent en éveil. Grace à l'odeur, je tournais la tête dans sa direction et y pointé ensuite mes oreilles.
Il était un peu trop près de la Frontière du Temps à mon gout mais il n'y avait pas d’autres proies plus près et assez grosses. Je m'y dirigeais donc discrètement pour ne pas faire peur aux autres animaux qui me guidés. Quand je fus derrière un buisson de myrtilles, près de ma proie, j'essayais de prendre connaissance de l'emplacement de son coup.
Quand je sus ceci, je lui sautais dessus et l'abattit aussitôt pour ne pas qu'il souffre. Je me mis à déguster ma proie que mon ventre m'avait réclamée auparavant. Quand j'eu terminé, je me mis à ronger un os. D’un coup, je sentis une odeur qui provenait de l'autre côté de la frontière.
D'un bond, je me ms debout, redressas la tête et grogna.

- Qui es-tu ??

Je montré les crocs et fit comprendre à l'inconnu qu'il ne valait mieux pas qu'il m'attaque ou même qu'il dépasse la frontière. Je grognais de plus belle, voulant savoir à qui j'avais à faire.